Pierre a écrit:jerlau a écrit:Tout travail de réfection de rue, y compris les tranchés, ne devraient jamais prendre plus d'une nuit et une journée pour laisser sécher s'il y lieu. Le matériel, les moyens sont tels qu'il n'y a jamais plus de travail que pour une nuit (Léon Darran par exemple).
N'exagère pas, ça dépend de ce qu'il y a à faire. Sur le bd des Pyrénées, où seul le revêtement a été refait, ça a été assez vite. Maintenant quand tu commences à refaire les trottoir avec leurs blocs de granit, à refaire les différents réseaux, c'est forcément plus long.
Je ne dis pas que la longueur des chantiers palois est toujours justifiée, mais de là à dire qu'en une nuit on peut refaire une rue...
Je n'exagère pas. Faire le travail en une nuit, c'est d'abord préparer le travail de façon méticuleuse. En usine pour aller vite, on fait non seulement des plans, mais des gammes de fabrication, et on définit les nomeclatures, ce qui va être utilisé. S'il faut refaire les trottoirs, rien n'empêche de préparer tous les blocs à assembler dès le départ et d'utiliser des techniques d'assemblages adaptées aux poses rapides.
Le "chantier" Darran et autour est invraisemblable. Il n'y avait pas utilité à casser tout le quartier en même temps. Une rue suffisait et on poouvait la finir avant de casser les autres.
Si on trouve un truc ancien, et qu'il faut réflechir, eh bien on referme au plus vite pour ne pas gêner la vie des citoyens.
On dirait que les chantiers publics ont tous les droits. Non, les responsables devraient d'ailleurs prendre en compte en premier la vie des citoyens.
Ces chantiers me rappellent les façons de faire industrielles d'il y a 30 / 40 ans. A l'éopoque qd il fallait changer l'outillage d'une machine, on commençait par arrêter la machine, et on allait ensuite chercher les nouveaux outils, qu'évidemment on ne trouvait pas de suite... des heures pour préparer les outils.. Du coup on changeait peu souvent le réglage des machines et elles produisaient pas cher pour des siècles qui revenaient cher à la minute... L'usine a alors changé, les réglages et outils futurs étaient préparés à l'avance, et l'arrêt de la machine pouvait se réduire à quelques minutes. Il y avait plus d'ouvriers en prépartifs, mais on gagnait un temps fou en économisant sur les mouvements, et en plus il y avait moins de stock.
Ces chantiers ne sont pas préparés minitieusement. Je me rappelle avoir vu au carrefour du ..... pont d'Espagne, un haut lieu de performance, les machines à goudronner se battre en duel autour des plots déjà posés pour goudronner, alors que si les tâches avaient été mieux planifiées, le goudronnage aurait été bien facilité.
Donc il faut viser 1 nuit ! pas plus